dimanche 20 mars 2011

LES COMANCHEROS (1961)

The Comancheros (1961). USA. En couleurs.
Un film de Michael Curtiz
Avec John Wayne (Capitaine Jack Cutter), Stuart Whitman (Paul Regret), Ina Balin (Pilar), Nehemiah Persoff (Graile), Lee Marvin (Tully Crow), Bruce Cabot (Major Henry) et Patrick Wayne (Tobe).

 LE RESUME:
 En 1843, à la Nouvelle Orleans, Paul Regret, un joueur de poker aventurier abat un homme au cours d'un duel.
Recherché pour meutre, il prend le bateau pour le Texas ou il fait connaissance de la mystérieuse Pilar.
Mais pendant la nuit, le capitaine des Texas Ranger: Jack Cutter l'arrête pour l'emmener se faire juger.
Plus tard, pendant que Cutter détourne son attention, Regret s'enfuit.
Cutter se charge alors d'une nouvelle enquête: il doit retrouver des bandits appelés "commancheros "qui aident les indiens à piller des fermes.

Malgré les apparences, Whithman ne tire pas sur Wayne
LA CRITIQUE:
Ce produit de commande fut la dernière réalisation de Michael Curtiz qui mourut pendant le film, John Wayne sera même obligé de  réaliser certaines séquences, ainsi ce sera ses premiers pas dans la mise en scène avant Alamo.
Quand a son jeu d'acteur, il est en pilotage automatique et se laisse guider par un scénario hasardeux, des situations invraisemblables et des dialogues très très légers.
Bref, ça se regarde mais d'un oeil distrait et ça s'oublie aussi vite.
Lee Marvin se fout du chapeau de Wayne...Y'a de quoi...

LA NOTE: 8/20
LE PLUS: Stuart Withman, un acteur trop rare, dans un rôle plutôt sympathique.
LE MOINS: Les indiens, encore une fois, ont le mauvais rôle. Représentés comme des indécrottables poivrots, ils se font descendre comme des lapins tout au long du film.
L'ANECDOTE: Première confrontation entre John Wayne et Lee Marvin, qui subira un an plus tard, le même sort dans L'homme qui tua Liberty Valance.
Stuart Whitman rigole, il est assuré "tout risque"

jeudi 17 mars 2011

L' HOMME DES VALLEES PERDUES (1953)

SHANE (1953). USA. En couleurs.
Un film de Georges Stevens
Avec Alan Ladd (Shane), Van Heflin (Jack Starett), Jean Arthur (Marian Starett), Brandon de Wilde (Joey Starett), Jack Palance (Wilson), Emile Meyer (Ryker) et Ben Johnson (Chris Calloway).

Si on l'embête, Jack balance
LE RESUME:
Shane, un aventurier au passé trouble, arrive dans la ferme des Starett.
Marian, la femme de Starett est intriguée par Shane et Joey, son fils fasciné de rencontrer un vrai pistolero.
Starett propose à Shane qui aenvie de se poser et de gouter aux joies d'une vie moins trépidante, de travailler pour lui.
Jack Starett avec quelques autres fermiers est en lutte permanente contre Ryker et ses hommes qui lui convoitent son bien. Mais le combat est bien inégal.
Ryker pour accélerer encore plus les choses, engage Wilson, un redoutable tueur.
Shane doit alors renouer avec son passé.
l'homme "un peu perdu" des vallées
LA CRITIQUE:
Western culte s'il en est, Shane est une réussite signée Georges Stevens, 3 ans avant son "trop ampoulé": Géant.
Alan Ladd, spécialiste du western, arrive sans problème a nous faire partager ses doutes sur son ancienne vie tumultueuse et à son désir de vouloir vivre une "vie normale". Mais comme il le dit a la fin du film, il est difficile de tirer un trait sur son passé et de faire comme s'il n'avait jamais existé.
Quand à Jack Palance, ce sera le rôle le plus emblématique de sa carrière. Il personnifie le mal a merveille.
Un film qui fait réfléchir et une oeuvre forte même si elle a un peu mal vieillie.

LA NOTE: 15/20
LE PLUS: La bagarre entre Shane et Calloway, dans le saloon. Mémorable...
LE MOINS: Des dialogues et un phrasé qui ont souffert du temps qui passe
L'ANECDOTE: Jack Palance, crédité au générique  du nom de "Walter Jack Palance" influencera avec son rôle de Wilson : Phil Defer, dans le 6ième album de Lucky Luke.

lundi 14 mars 2011

LE PASSAGE DU CANYON (1946)

(Canyon passage). USA. En couleurs.
Un film de Jacques Tourneur.
Avec Dana Andrews (Logan Stewart), Susan Hayward (Lucy), Brian Donlevy (George Camrose), Patricia Roc (Caroline Marsh), Ward Bond (Honey Bragg) et Lloyd Bridges (Johnny Steele).
Susan, Brian et Dana sont dans un canyon.





Résumé:  Alors qu'il est en ville pour affaires, Logan Stewart se fait voler une importante somme d'argent. Il soupconne tout de suite un renegat notoire: Honey Bragg.
Il rentre alors dans son village  de Jacksonville, et escorte Lucy Overmire, la fiancée de son meilleur ami Camrose, avec qui elle doit se marier prochainement.
Tout devrait etre un long fleuve tranquille, mais Camrose a des dettes de jeu et finit par tuer un homme... Pendant ce temps, Honey Bragg viole et assasine une jeune fille indienne tout près du village. La tribu va vouloir se venger...

Cherchez le roc...dans ce canyon...
LA CRITIQUE:
Tous les ingrédients du western reunis dans un seul et même film: L'amitié, l'amour, la rivalité entre deux amis, les grands espaces, les indiens, la vengeance... Tous les acteurs jouent justes avec une mention particulière à Susan Hayward. Bref ce film est un feu d'artifice de tous les instants, signé par un réalisateur plutot réputé pour ses films fantastiques: Jacques Tourneur.

LA NOTE: 18/20
LE PLUS: Des dialogues et des situations au ton incroyablement moderne même 60 ans après, font de ce Passage du Canyon, le meilleur western tourné avant 1950, que j'ai vu.
LE MOINS: Un scénario presque trop riche.
L'ANECDOTE: Magré le titre anglais ou français il n'y a pas de passage ni canyon dans le film.

EL PERDIDO (1961)

(The last sunset). 1961. USA. En couleurs.
Un film de Robert Aldrich
Avec Dorothy Malone (Belle Breckenridge), Kirk Douglas (Bren O' Malley dit "El Perdido), Rock Hudson (Dana Stribling), Joseph Cotten (John Breckenridge), Carol Linley (Missy) et Neville Brand (Frank Hobbs).
 

LE RESUME:
Brendan O'Malley, un homme en fuite vers le Mexique, s'arrête sur le chemin chez Belle Breckenridge. C'est une femme qu'il a connu, il y a de nombreuses années mais dont il resté amoureux. Belle est mariée à John Breckenridge et elle a aussi une fille de seize ans: Missy.
Arrive au ranch, le shérif Dana Stribling qui est chargé de ramener O'Malley au Texas pour meutre. Il ne parle pas de ses intentions à la famille Breckenridge.
John demande au deux hommes de l'accompagner car il doit amener son bétail vers le Texas. Stribling, accepte, trouvant la une bonne occasion de garder l'oeil sur O' Malley et en plus il n'est pas indifférent aux charmes de Belle.
Quand a O'malley il est troublé par Missy qui lui rappelle tellement Belle, 16 ans plus tôt.
Pendant le voyage , dans un saloon, John Breckenridge est tué.
2 hommes, 2 femmes... combien de possibilités?
LA CRITIQUE:
Robert Aldrich revait d'un grand film qui marquerait les esprits, d'une épopée dans l'ouest aux allures de tragédie grecque. Doté d'un bon scénario, d'un casting brillant et d'un budget confortable, la montagne accouche pourtant d'une souris. Le film est un échec tant financier qu'artistique. Que ce soit les scènes romantiques, ou les moments d'action, tout tombe à plat.
Bref, quel gachis d'avoir autant de belles cartes en mains pour un résultat final aussi médiocre.
2 hommes, 2 chevaux... combien de possibilités... ah non pardon
LA NOTE: 8/20
LE PLUS: Kirk Douglas, qui fait du kirk Douglas, mais qui le fait tellement bien.
LE MOINS: Rock Hudson dans un rôle certes ingrat à le charisme d'un rouleau de scotch.
L'ANECDOTE: A 94 ans, Kirk Douglas est le seul acteur encore vivant de l'age d'or du Western (les années 50-60). Par chance, c'est certainement le meilleur.

samedi 12 mars 2011

L'HOMME DE LA SIERRA (1966)


Brando "croix" il que ça va etre facile de récupérer son cheval?

(the Appaloosa). 1966. USA. En couleurs.
Un film de Sidney J Furie
Avec Marlon Brando (Matteo), Anjanette Comer (Trini), John Saxon (Juan Medina), Emilio Fernandez (Lazaro) et Rafael Campos (Paco).

LE RESUME:
Matt Fletcher dit 'Matteo" revient chez lui apès plusieurs années. C'est un homme mystérieux, fatigué avec un  passé trouble qui veut changer de vie.
Après une altercation avec un chef bandit mexicain Juan Medina, Matt rentre enfin chez lui ou il retrouve son frère adoptif et la famille de celui ci. Le bonheur est de courte durée, car Medina vole le majestueux cheval appaloosa de Matteo.
Matteo veut abolument le récuperer car il a pour lui, une valeur symbolique.

LA CRITIQUE:
L'homme de la Sierra reste l'un des films les moins connus de Marlon Brando, qui interprète un franc tireur nonchalant, vite dépassé par les évenements. Quelquesoit le rôle qu'il incarne, il reste un acteur à part dans sa façon de jouer. C'est encore le cas ici.
John Saxon excellent acteur de série B américain en fait parfois un peu trop (certainement du au doublage français), mais il tient le choc face au monstre sacré qu'est Brando.
Le film arrive à éviter les clichés et il est porté par de belles images (et des plans excellents) signés Sidney J Furie qui pourtant n'a pas fait que des chefs d'oeuvre (Superman IV, Aigle de fer). Bref une bonne surprise malgré des critiques "très moyennes".
Appaloosa...ça ferait un bon titre de western

LA NOTE: 14/20
LE PLUS: Le bras de fer (avec piqure de scorpions a la clé) une séquence mémorable et très originale.
LE MOINS: Les hommes de main de Medina surjouent tous et c'en est parfois risible.
L'ANECDOTE: Malgré une filmographie importante, le rôle le plus connu de Saxon est celui du vampire "Paul Nadasy "dans la série Starsky et Hutch.

jeudi 10 mars 2011

LA RIVIERE ROUGE (1948)

(Red River). USA. Noir et blanc.
Un film de Howard Hawks.
Avec John Wayne (Tom Dunson), Montgomery Clift (Matthew Garth), Joanne Dru (Tess Millay), Walter Brennan (Groot), John Ireland (Cherry), Harry Carrey JR (Latimer) et Harry Carrey SR (Melville).
L'affiche originale.
LE RESUME:
 Tom Dunson, parti de rien est devenu le propriétaire d'un énorme troupeau de bétail. Il décide d'accomplir un voyage titanesque et quasi impossible entre le Texas et le Missouri pour vendre les 10 000 bêtes. Accompagné de son fils adoptif Matthew Garth, de son vieux complice Groot et de quelques courageux le périple commence. Mais plus les jours passent, plus Dunson devient entêté et tyrannique.
Ne pouvant faire autrement devant les réactions incontrôlables de Dunson, Garth prend la tête du troupeau et décide avec l'aval des hommes de le conduire à Abilène à l'opposé de l'itinéraire initial.
Dunson jure de les rattraper et de se venger...
La rivière sans retour ?
LA CRITIQUE:
Sorti en 1948, La rivière rouge est une oeuvre mémorable signé par un des grands du western Howard Hawks.
Avec une équipe de 1000 personnes, un tournage qui se prolongea, un troupeau véritable de 10000 vaches, le tournage comme l'histoire du film fut une vraie épopée.
John Wayne prouva qu'il était un grand acteur et Montgoméry Clift qui venait du théatre excelle dans le rôle de Garth ( qui n'est pas sans rappeler, quelques années plus tard,le rôle de Colorado dans Rio Bravo).
Ce n'est pas le seul lien avec le futur Rio Bravo puisque c'est aussi dans ce film que l'on entendra les notes de "My rifle, my pony and me" qui sera chantée par Dean Martin et Ricky Nelson, 10 ans après.
La note: 17/20
Le plus: L'aspect quasi documentaire du travail de cowboy
Le moins: La fin qu'on attend venir est un peu facile et un peu expéditive.
Quand Cupidon décoche une flèche...
L'anecdote: Hawks, jaloux parait il de John Ireland qui draguait Joanne Dru, sa future femme, coupa un maximun au montage les scénes de l'acteur.

mercredi 9 mars 2011

DEAD MAN (1995)

(Dead Man). USA. Noir et blanc.
Un film de Jim Jarmusch.
Avec Johnny Depp (William Blake), Gary Farmer (Personne), Lance Henricksen (Cole Wilson), Michael Wincott (Conway Twill), Robert Mitchum (John Dickinson), Alfredo Molina (L'épicier), et Iggy Pop (Sally).
La croisière s'amuse? Ben on dirait pas...

LE RESUME:
William Blake, jeune comptable qui vient de Cleveland se rend lors d'un pénible et long voyage en train dans la ville de Machine ou un poste l'attend à la manufacture Dickinson.
Péniblement il arrive a avoir une entrevue avec Mr Dickinson, mais il se rend compte qu'il arrive trop tard car le poste de comptable est déja pourvu. Dépité, il erre dans la ville et fait la connaissance de Thel, une ancienne prostituée. Il passe la nuit avec, mais au petit matin l'ex fiancé de Thel, le fils de Dickinson fait irruption dans la chambre et tue la jeune femme. Blake pour sauver sa peau n'a pas le choix et tue a son tour le fils Dickinson qui le blesse.
Il s'enfuie et un indien solitaire du nom de Personne le sauve et le prend sous son aile, persuadé qu'il a à faire a William Blake le célèbre poète.
Pensant ce temps, Dickinson père envoie sur les trousses de Blake, 3 dangereux chasseurs de prime qui ont pour ordre de le ramener mort ou vif.


Depp man
LA CRITIQUE:
Voilà une oeuvre singuliére mais Jarmusch reste un coutumier du fait.
Depp était très heureux de jouer dans un western, il réalisait un rêve de gosse.
Déception, il apparaît trop souvent transparent.
La révélation du film reste Gary Farmer dans le rôle de l'énigmatique indien Personne.
Le film, pour ma part, est loin de son statut de chef d'oeuvre. Même si il possède des qualités (une très belle photo, des scènes non dénuées d'humour) on assiste souvent a une oeuvre laborieuse, parfois maladroite et incontestablement trop longue.
Et si il sort des sentiers battus du western proprement dit,ce n'est pas forcement a son avantage.
Résultat de recherche d'images pour "dead man robert mitchum"
L'ancien footballeur porte plainte. Robert Mitchum lui a volé sa coupe de cheveux
LA NOTE: 7/20
LE PLUS: Une musique hypnotisante et envoutante signée Neil Young.
LE MOINS: Long, parfois aussi ennuyeux qu'une attente a un guichet de la poste.
L'ANECDOTE: C'est la dernière apparition à l'écran du "grand" Robert Mitchum.

mardi 1 mars 2011

TRUE GRIT (2010)

(True grit). 2010. USA. En couleurs.
Un film de Joel et Ethan Coen.
Avec Jeff Bridges (Reuben "Rooster" Coghburn), Haillee Stainfield (Mattie Ross),  Matt Damon (Le ranger Laboeuf), Josh Brolin (Tom Chaney) et Barry Pepper (Lucky Ned Pepper).
Courageuse, quand il faut Mattie...rosse.

 LE RESUME:
La jeune Mattie Ross vient de perdre son père sauvagement et lâchement abattu par un voyou du nom de Tom Chaney.
Elle arrive a revendre quelques chevaux pour récolter un peu d'argent qui lui permettra d'engager Rooster Coghburn, un marshall "tête brulée"et controversé..
Se joint a eux, un jeune texas ranger du nom de Labeuf, qui poursuit le même assassin. Le trio se met sur la piste de Chaney pour l'arreter mais Mattie Ross est bien décidée, elle, à se venger.

LA CRITIQUE:
Avec les Frères Coen, on pouvait s'attendre a un renouveau du mythe dans le genre baroque et barré.
Au contraire, on assiste a un magnifique film linéaire et sobre dans la veine d
'Impitoyable.  Les décors et la musique sont superbes et le jeu des acteurs est parfaitement maitrisé et cadré. Malgré tout ça, les frères Coen saupoudrent le tout de quelques moments de poésie (la fin du film sous la nuit étoilée...)
Bref un western des années 2010, mais qui respecte la tradition et les règles du genre.
"trou gritt"

LA NOTE: 18/20
LE PLUS: Les numéros d'acteurs de Bridges (notamment la scène du tribunal au début du film) et de Hailee Stainfield (véritable révélation de True Grit.)
LE MOINS: On aurait aimé que le rôle de Brolin soit moins carricatural.
L'ANEDCOTE: True grit a été rebaptisé par sa traduction littérale: Le vrai courage chez nos amis québecois.


RANCHO BRAVO (1966)

une pose tout ce qu'il y'a de... naturel pour James Stewart
(The rare breed). 1966. USA. En couleurs.
Un film de Andrew Mc Laglen avec James Stewart (Sam Burnett), Maureen O'Hara(Martha Price), Brian Keith (Alexandre Bowen), Juliett Mills (Hillary Price), Jack Elam (Deke Simmons) et Ben Johnson (Jeff Harter).

LE RESUME:
En 1880, suite au décès de son époux, Martha Price accompagnée de sa fille Hilary, veulent imposer aux éleveurs de bétail de l'Ouest américain, un taureau anglais: un Hereford du nom de Vindicator... Elle demande l'aide de Sam Burnett, un aventurier pour amener le taureau a bon port au Texas chez un éleveur exentrique. Après bien des péripéties, le voyage se termine mais le plus compliqué sera de convaincre les cow boys "purs et durs" de la valeur de Vindicator.

LA CRITIQUE:
Un petit western, sans grande prétention mais plaisant, réalisé par un habitué du genre: Andrew Mc Laglen. Comme toujours ce bon vieux James Stewart est irréprochable et il est toujours agréable de retrouver Maureen O'Hara (d'habitude la partenaire attitrée de John Wayne).
Les joies du sport d'hiver?

LA NOTE: 12/20
LE PLUS: Des scènes savoureuses entre Stewart et O'Hara.
LE MOINS: Une intrigue parfois cousue de fil blanc.
L'ANECDOTE: Andrew Mc Laglen, le réalisateur est le fils de Victor Mc Laglen, célèbre acteur, rival de John Wayne dans L'homme tranquille.

LE SHERIF

(The proud ones). 1956. USA. En couleurs. Une distribution Twentieh Century Fox. Un film de Robert D. Webb Avec: Robert Ryan ...............