samedi 4 juin 2011

BANDOLERO


(Bandolero). 1968. USA. En couleurs.
Un film de Andrew Mc Laglen.

Avec John Stewart (Mark Bishop), Raquel Welsh (La veuve Stoner), Dean Martin (Dee Bishop), Georges Kennedy (Shérrif July Johnson), Will Geer (Pop Chaney) et Andrew Prine (Roscoe Bookbinder).

La corde au cou...
LE RESUME:
Au Texas, le gang de Dee Bishop tente de dévaliser une banque.
Mais c'est un fiasco terrible, ils abattent deux hommes dont le richissime Mr Stoner, puis sont arrêtés par le Shérif Johnson.
Condamnés à la pendaison, Bishop et sa bande attendent, impuissant le jour de la sentence.
Entre temps, Mark Bishop, le frère ainé a su que son frère était condamné à mort. Il intercepte le bourreau, et prend sa place. Ainsi déguisé, Mark Bishop arrive en ville et aide son frère et ses 4 acolytes à s'échapper.
Pour couvrir leur évasion vers le Mexique, ils prennent en otage la veuve Stoner, la très belle Maria.
Mais le shérif  Johnson, amoureux fou de Mme Stoner, décide de les poursuivre avec quelques habitants du village.
Mais rien ne se passe comme prévu, surtout qu'au Mexique sévit une redoutable bande de tueurs mexicains, les Bandoleros, dont le but est de detrousser et tuer quiquonque arrive sur leur territoire.

Un chemisier tout neuf...c'est balot.

LA CRITIQUE:
Bandolero est un western étrange mais pas déplaisant. Il oscille entre comédie et drame pour finir dans un terrible bain de sang que le spectateur n'a pas prévu.
Le film est surtout l'occasion de réunir un casting prestigieux: Stewart et Kennedy toujours excellents, la très belle Raquel Welsh très a l'aise dans son rôle. Seul Dean Martin dénote un peu, il faut dire qu'il est au plus haut de son problème d'alcoolisme quand le film est tourné et malheureusement son jeu est parfois laborieux.
Bandoléro connaitra un bon succès et Martin retrouvera Mac Laglen, quelques années plus tard pour tourner ensemble Rio Verde.
Kennedy et les hommes du président.

LA NOTE: 15/20
LE PLUS: Le thème musical reste l'un des meilleurs jamais composés pour un western.
 LE MOINS: La scène de l'attaque du village de Sabinas par les bandits mexicains. Pas très crédible, car les bandoleros en surnombre se font descendre comme des lapins sans vraiment réagir.
L'ANECDOTE: En 1982, Raquel Welsh entame un procès contre la MGM, pour rupture de contrat. Elle obtiendra gain de cause et recevra pour préjudice, la coquette somme de 10 millions de dollars.

 

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