mercredi 9 mars 2011

DEAD MAN (1995)

(Dead Man). USA. Noir et blanc.
Un film de Jim Jarmusch.
Avec Johnny Depp (William Blake), Gary Farmer (Personne), Lance Henricksen (Cole Wilson), Michael Wincott (Conway Twill), Robert Mitchum (John Dickinson), Alfredo Molina (L'épicier), et Iggy Pop (Sally).
La croisière s'amuse? Ben on dirait pas...

LE RESUME:
William Blake, jeune comptable qui vient de Cleveland se rend lors d'un pénible et long voyage en train dans la ville de Machine ou un poste l'attend à la manufacture Dickinson.
Péniblement il arrive a avoir une entrevue avec Mr Dickinson, mais il se rend compte qu'il arrive trop tard car le poste de comptable est déja pourvu. Dépité, il erre dans la ville et fait la connaissance de Thel, une ancienne prostituée. Il passe la nuit avec, mais au petit matin l'ex fiancé de Thel, le fils de Dickinson fait irruption dans la chambre et tue la jeune femme. Blake pour sauver sa peau n'a pas le choix et tue a son tour le fils Dickinson qui le blesse.
Il s'enfuie et un indien solitaire du nom de Personne le sauve et le prend sous son aile, persuadé qu'il a à faire a William Blake le célèbre poète.
Pensant ce temps, Dickinson père envoie sur les trousses de Blake, 3 dangereux chasseurs de prime qui ont pour ordre de le ramener mort ou vif.


Depp man
LA CRITIQUE:
Voilà une oeuvre singuliére mais Jarmusch reste un coutumier du fait.
Depp était très heureux de jouer dans un western, il réalisait un rêve de gosse.
Déception, il apparaît trop souvent transparent.
La révélation du film reste Gary Farmer dans le rôle de l'énigmatique indien Personne.
Le film, pour ma part, est loin de son statut de chef d'oeuvre. Même si il possède des qualités (une très belle photo, des scènes non dénuées d'humour) on assiste souvent a une oeuvre laborieuse, parfois maladroite et incontestablement trop longue.
Et si il sort des sentiers battus du western proprement dit,ce n'est pas forcement a son avantage.
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L'ancien footballeur porte plainte. Robert Mitchum lui a volé sa coupe de cheveux
LA NOTE: 7/20
LE PLUS: Une musique hypnotisante et envoutante signée Neil Young.
LE MOINS: Long, parfois aussi ennuyeux qu'une attente a un guichet de la poste.
L'ANECDOTE: C'est la dernière apparition à l'écran du "grand" Robert Mitchum.

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LE SHERIF

(The proud ones). 1956. USA. En couleurs. Une distribution Twentieh Century Fox. Un film de Robert D. Webb Avec: Robert Ryan ...............